Finalement, un blog c'est comme un lien rouge: c'est une page blanche virtuelle qu'on se dit qu'il faudrait quand même remplir parce qu'on a plein de choses ultra pertinentes à dire sur un sujet. Alors, un jour, on se lance.
Et puis rien.
La page reste blanche, et de l'exaltation des grands espaces intellectuels à conquérir (ou de la Lumière à répandre, c'est selon), on se rapproche plus de la peur du plongeon de cinq mètres, comme lorsqu'à huit ans on se précipitait en haut de l'échelle pour impressionner les copains et réaliser, une fois arrivé, qu'on s'est peut-être un peu surestimé, mine de rien.
Bon. De toute façon j'avais déjà décidé que ça n'avait pas été une super semaine.
2 commentaires:
Bienvenue dans le joli monde de la wiki-blogosphére !
"la peur du plongeon de cinq mètres" : c'est plus facile de sauter les pieds devant que la tête la première. De cinq mètres, je n'ai jamais pu me résoudre à m'élancer tête vers le bas...
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