mercredi 14 juillet 2010

« Le jour du 14 juillet, je reste dans mon lit douillet »

Ces dernières semaines derniers mois, j'ai suivi d'un œil distrait et discret les discussions autour de la réforme du comité d'arbitrage. Comme d'habitude, je lis mais n'interviens pas me contentant de voir les avis évoluer (ou pas) et la discussion progresser (bis). Sociologiquement, ce doit être fichtrement intéressant1 de voir comment la discussion avance ou recule ou en quoi même sur un projet collaboratif où tout le monde peut participer, il faut une/quelques personne(s) qui se remonte(nt) les manches pour abattre une bonne partie du boulot et sortir du Yakafaukon, ou Faudrèkon (et autres variantes2).

J'ai déjà écrit ce que je pensais du Comité d'arbitrage et des élections l'an dernier et je n'ai pas changé d'avis. J'ai tenté plusieurs fois de lire le texte de la prise de décision et (malgré la bonne volonté des intervenants), j'avoue avoir jeté l'éponge à chaque fois avant d'arriver au bout. Alors, je baisse les sourcils, hausse les épaules et regarde juste le pourcentage d'approbation sur quelques articles importants pour me préparer éventuellement à mettre mon grain de sel avant la fin du vote si nécessaire. Mais je dois bien avouer que je ne vois pas en quoi les changements vont vraiment améliorer le processus du comité d'arbitrage. Non je n'ai rien de mieux à proposer de mon côté, je remarque juste que le CAr, en fait, je m'en moque un peu et quelque part cela me désole un tantinet.


Ceux qui n'ont pas reconnu du Brassens dans le titre sont invités à parfaire leur culture dans ce domaine.
1. Je n'ai pas les compétences pour juger.
2. Je-ne-propose-rien-d'autre-mais-je-suis-en-TOTAL-désaccord-avec-ça-et-préfère-un-statu-quo-très-imparfait-plutôt-que-cette-ignominie.
Sur ce blog, est-ce que le libellé « CAr » implique qu'on ajoute automatiquement « Usine à gaz » et « Vaguement trollogène » ?

Aucun commentaire: